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Test : Cartzzle

D’aussi loin que je me souvienne, Junior n’a jamais aimé jouer seul. Trop monotone, trop pénible… Il avait besoin d’interaction pour passer de bons moments. J’ai essayé, à maintes reprises, de lui proposer différents jeux solos, aux thèmes et principes variés (espérant ainsi pouvoir enfin boire un café ou lire un livre en paix). Mais, rien n’y faisait, ce n’était pas sa came. Curieux de prime abord, il s’en lassait ensuite très vite. Alors, parce qu’il fallait bien l’occuper un peu, quitte à jouer ensemble, on s’est dit qu’on allait tester les jeux de plateau. C’est ainsi que nous sommes devenus accros au jeu de société.

Au cours de ces 6 dernières années, nous avons eu l’occasion d’en essayer, des jeux. Je pense qu’on peut même dire qu’on est assez boulimiques en la matière. Du casse-tête au jeu de plateau, en passant par les jeux d’agilité ou de mémoire, nous avons eu, entre les mains, plein de titres aux mécaniques plutôt classiques ou parfois plus originales. Et nous avons ainsi affiné, au fil des ans, nos goûts ludiques, plébiscitant certains genres et fuyant beaucoup d’autres, pas faits pour nous.

Mais, il est de ces jeux qu’on peut difficilement ranger dans une catégorie bien définie. Des OVNIS ludiques qui suscitent la curiosité dès qu’on les aperçoit et qui donnent envie de creuser davantage tant la promesse semble alléchante. C’est un peu l’histoire de notre rencontre avec Cartzzle.

Cartzzle c’est une nouvelle gamme, sortie en 2021 chez OPLA, qui s’adresse à nos Juniors de 8 ans et plus. Il existe deux versions du jeu : les « Cartzzle classique » et les « Cartzzle création », proposant pour l’une, un mode solo uniquement et pour l’autre, un mode solo et un mode multi-joueur (jusqu’à 4 joueurs). Elles contiennent chacune trois titres (mais la gamme est amenée à évoluer) qui permettront à nos Juniors de s’amuser, seul ou en famille, pendant 30 minutes environ.

[Ce test a été réalisé avec un exemplaire du jeu La dame à la licorne et Brocéliande Illimitable qui nous ont été gentiment envoyés par l’éditeur. Ça ne change rien à notre avis, mais ça fait stylé de le préciser]

Quand le puzzle s’invite dans nos ludothèques

Cartzzle est un jeu qui est assez déroutant à la découverte. On a entre les mains une boîte rikiki, qui tient dans une seule main, à l’intérieur de laquelle se trouvent 55 cartes. 50 morceaux d’image dont on comprend vite qu’il va falloir les assembler pour recomposer un modèle, représenté sur une carte dédiée et 4 autres cartes sur lesquelles on reviendra.

Un puzzle donc, de prime abord mais au format plutôt original puisqu’ici aucune question d’encastrer des pièces, comme dans les puzzles classiques, mais plutôt de superposer délicatement les cartes (le terme délicatement ayant une importance cruciale dans le déroulé du jeu) pour reconstituer le tableau final.

Les cartes sont recto/verso ; c’est donc en réalité deux puzzles que vous pouvez réaliser avec une seule boite (il faudra néanmoins démonter le premier pour construire le second) mais, si certains titres de la gamme proposent deux images distinctes, d’autres vous proposeront deux images d’un même tableau mais décomposées en deux morceaux. Nous y reviendrons.

Je vois vos yeux inquiets. Un puzzle ? Plateau Junior! aurait-il changé le type de jeux qu’il chronique ? Eh bien non, pas de panique ! En fait, Cartzzle est un peu à l’image du site : il aime ménager ses petits effets.

Un puzzle, un jeu de cartes… Késseussé ton jeu bizarre ?

Ah ah, la question est pertinente ! Je conçois qu’à la lecture de ces premières lignes, vous ayez un peu de mal à percevoir le côté ludique du jeu. En quoi est ce qu’un puzzle peut être considéré comme un jeu de société ? (Vous avez trois heures !) C’est aussi l’effet que ça nous a fait, à Junior et moi.

Trop pressés de faire le puzzle, nous avions laissé de côté les cartes supplémentaires, pensant qu’il s’agissait d’une présentation des autres jeux de la gamme. Mais en fait, non. Nous étions donc bien déconfits devant ce puzzle achevé, ne sachant pas trop si nous étions passés à côté du jeu. Et nous sommes restés avec cet air dubitatif, de longues minutes… jusqu’à ce que Junior attrape finalement les cartes restantes et me dise : « mais maman, en fait, t’as rien compris… Ce n’est pas ça le jeu ! ».

Effectivement, ces trois petites cartes que nous avions négligées étaient, en réalité, la règle du jeu. Et c’est par elles qu’il faut bien évidemment commencer. Accompagnées d’un bref résumé qui situe historiquement le tableau que vous allez reconstituer, elles vous expliqueront quoi faire de vos cartes. La carte restante, si vous avez bien compté, présente un QR code pour accéder aux solutions.

Junior avait vu juste, une fois le puzzle terminé, pas question de le ranger dans un coin. C’est seulement là que le jeu commence. Et ce, de multiples façons, en fonction de la boite à laquelle vous jouez et du nombre de joueurs participant à l’aventure.

Dans le cadre de ce test, j’ai eu l’occasion de tester deux opus de la gamme avec Junior, ce qui nous a donné une belle vision d’ensemble des différents mécanismes de jeu. Laissez moi-vous les conter plus en détail.

La dame à la licorne, ou quand le puzzle devient Smartgame.

La dame à la licorne est un Cartzzle solo. Le jeu vous propose de reconstituer deux tableaux distincts, réalisés par deux artistes inconnus.

Alors je vous le dis d’emblée, nous y avons joué en duo avec Junior car on adore coopérer sur ce type de jeux. D’ailleurs, il a été un peu déboussolé lors de la découverte du tableau car l’univers de La Dame à la Licorne lui parlait peu. Beaucoup de détails, un style très moyenâgeux… Bref, il a directement fait la grimace.

Cependant, il s’est montré un peu plus sensible au second tableau, plus simple et moins rempli de tas de petits éléments à observer. Je pense que le défi lui a paru plus accessible mais sans provoquer, pour autant, une explosion d’étoiles dans les yeux. Avec le recul, je ne suis même pas sûre que s’il avait été seul devant les cartes, il aurait tenté l’aventure. Le faire ensemble lui a donc permis de surmonter son appréhension en se disant « bon, si maman le fait, c’est peut-être plus cool que ça en a l’air ce truc. ». J’ai trouvé ça plutôt chouette.

Une fois les 50 cartes étalées devant nous, côté recto donc, nous nous sommes mis à reconstituer le puzzle. Erreur de débutants. En réalité, il ne faut pas vous lancer directement dans l’assemblage des cartes puisque chacune des toiles propose son lot d’énigmes qui doivent être considérées les unes après les autres. Ce sont ces énigmes qui conditionneront la façon dont vous devrez assembler vos cartes.

Alors, pour le coup, on a eu de la chance, car que ce soit pour l’une ou l’autre des toiles, le jeu nous indique qu’il faut commencer par réaliser entièrement le puzzle une première fois. Finalement, on n’avait pas bossé pour rien, c’est une bonne chose quand on a un Junior aussi peu patient que le mien.

C’est vraiment plaisant car ça permet d’appréhender le jeu en douceur, et surtout, de comprendre à quel point la superposition des cartes est importante et que ça se joue parfois (souvent ?) au millimètre près pour matcher correctement. Tellement au millimètre d’ailleurs que c’est le premier petit grain de sable que nous avons rencontré. Il faut être réellement minutieux.

Comprenez par là que si votre Junior est l’homologue humain de Taz, ça va poser un gros souci. Car si vous posez les cartes un peu trop vite, tout le reste du puzzle bouge. Ça bouge même tellement que, plus vous essaierez de rectifier le tir en remettant les autres cartes en place plus vous verrez votre puzzle se déconstruire sous vos yeux.

Et ça, ça a posé un vrai gros problème à mon Huit’ans, lui qui aime tout maîtriser. Game over pour Junior, donc, qui a abandonné la partie. Je ne m’attendais pas à un tel rejet de sa part et j’avoue m’être retrouvée bien bête, seule devant le jeu. D’autant plus qu’une fois le puzzle terminé (ben oui, je l’ai fini seule), on s’aperçoit que la superposition n’est pas optimale et qu’en fait, c’est tout à fait normal. J’irai même jusqu’à dire que, pour des personnes comme Junior ou moi, qui ont besoin que les choses soient carrées (non non, nous ne sommes pas psychorigides, promis !), comprendre cet aspect du jeu a un côté libérateur. Et ce n’est qu’à partir du moment où on accepte qu’on ne pourra pas trouver la solution du premier coup et que même si on la trouve, le puzzle ne sera pas parfait, qu’on commence enfin à s’amuser.

Vous l’aurez compris, il n’y a qu’une seule solution pour que tout s’emboîte parfaitement en respectant le modèle et cela va faire chauffer vos neurones bien comme il faut. Mais, une fois ce premier défi relevé, ne croyez-pas vous en tirer à si bon compte : les Cartzzle solo ont cette particularité que les cartes doivent être superposées dans un certain ordre, selon l’énigme que vous souhaitez résoudre. Il faudra donc recommencer, différemment, pour les énigmes suivantes.

Dans la Dame à la Licorne, 11 seront à résoudre, toutes faces confondues. Et ma foi, elles sont plutôt plaisantes, ces énigmes, et on prend un réel plaisir à repenser l’agencement des cartes. Il faudra être méthodique dans le tri, réfléchir à la pose tout en ayant préalablement décrypté l’énoncé du jeu. Car oui, les intitulés sont formulés de telle sorte que la poésie est de mise, soumise à l’interprétation du joueur.

Réfléchir au défi s’avère finalement aussi ludique que construire son puzzle ; un petit moment hors du temps qui fait du bien au moral, lorsqu’on se laisse finalement prendre au jeu.

Brocéliande Illimitable : et Junior revint dans la partie.

Forte de mon expérience finalement réussie avec le premier opus, c’est pleine d’entrain que je suis repartie extirper Junior de son canapé en lui proposant de tester le second Carttzle, le Brocéliande Illimitable. Non pas que je sois têtue (quoique ?) mais je ne voulais pas qu’il reste sur un avis aussi tranché sans avoir retenté l’aventure au moins une fois.

Dans Brocéliande Illimitable, on reste peu ou prou sur le même principe que la Dame à la Licorne. Seulement,  ici, il s’agit d’un Cartzzle « Création », c’est à dire qu’il propose à la fois un mode solo et un mode multi-joueurs.

Le mode solo est en tous points identique à celui découvert lors de notre première partie : on reconstitue un puzzle puis on résoud les énigmes. Petite différence ceci-dit : l’image est de nouveau recto/verso mais dans ce Cartzzle, il ne s’agit plus de deux tableaux différents : le bas du tableau côté recto est, en réalité, le début (le haut) du tableau côté verso. Et, de la même façon, le bas du côté verso représente le début du côté recto. A l’instar d’un zootrope donc, on a la sensation de deux tableaux qui tournent en boucle sans s’arrêter créant une scène en mouvement perpétuel.

Ce joli clin d’oeil à l’enfance est très plaisant d’autant qu’il saute aux yeux des Juniors dès qu’ils découvrent le jeu. Les voilà occupés à tourner et retourner la carte modèle en s’exclamant : « T’as vu maman ? L’image, elle continue derrière ! C’est cool ! ». Soulignons d’ailleurs que tout est fait pour capter leur attention. Les dessins de Pauline Detraz, au style beaucoup plus naïf que celui de la Dame à la Licorne, semblent tout droit sortis d’un dessin animé. Le thème, quant à lui, est plein de promesses d’aventures épiques ; nous voilà plongés dans la forêt de Brocéliande, pour conter l’histoire d’Arthur Pendragon. La classe !

Les énigmes du modes solo sont très bien pensées : chaque nouvelle construction vous fera découvrir un morceau de la légende Arthurienne. Ce cheminement est bien plus ludique pour les Juniors, ce qui a fini de convaincre mon Huit’ans d’aller au bout du défi. D’ailleurs, cette fois-ci, il ne s’est pas découragé. Il faut dire que Brocéliande Illimitable a deux gros atouts : les dessins, plus enfantins, sont moins détaillés que ceux de la Dame à la Licorne et surtout les cartes se superposent sans avoir besoin d’être inclinées. Cela rend l’étape de création du puzzle moins compliquée et beaucoup plus rassurante pour les Juniors. En tout cas, pour le mien, ce fut une expérience réussie, cette fois-ci.

Il me semble tout de même important de souligner que, sous ses airs enfantins, Brocéliande Illimitable ne sera pas forcément plus facile à appréhender pour les Juniors. Le fait que les tableaux recto et verso aient un lien fort est, certes, très ludique, mais c’est aussi perturbant car les éléments du recto et du verso se ressemblent énormément. Le défi est donc plus ardu à relever car il faut non seulement trouver l’emplacement exact des cartes dans le puzzle mais également vérifier, avant toute chose, que la carte image que l’on a sous les yeux fait bien partie du morceau de scène qu’on essaie de reconstituer (et non pas de l’autre).

Alors, vous pourrez me dire que peu importe puisqu’au final c’est la même scène mais, croyez-moi, si vous mélangez les rectos et les versos sur une même scène, vous allez vous retrouver avec plein de trous dans votre puzzle, impossibles à combler. Et bon courage pour retrouver la ou les cartes qui posent problème. Je pense qu’une petite indication visuelle pour distinguer le recto du verso serait, de fait, appréciable pour les Juniors afin d’éviter qu’ils ne s’emmêlent les pinceaux face à leur jolie toile.

Je vous le disais un peu plus haut, petite nouveauté dans cet opus : Brocéliande Illimitable propose également un mode multi-joueurs. Dans les grandes lignes, on peut jouer jusqu’à 4 joueurs et le but va être, bien évidemment, de reconstituer le puzzle en respectant le modèle. Chacun son tour, on joue une carte de sa main pour l’ajouter à la scène ou alors, on peut aussi décider de refaire (en partie) sa main si rien ne nous inspire. On construit ainsi petit à petit le tableau jusqu’à ce que la pioche soit vide puis on calcule le score final. En partant de 20, on soustrait des points pour les cartes défaussées et les placements trop imprécis.

Ce mode de jeu n’est pas compétitif puisque les autres joueurs peuvent conseiller le joueur actif dans ses choix, lui évitant ainsi des poses hasardeuses ou des associations disgracieuses. À la maison, nous avons trouvé que cette variante était vraiment sympathique car elle permet de construire notre tableau à plusieurs, comme on pourrait le faire avec un puzzle à encastrer, chacun y allant de sa petite idée ou de son conseil avisé sur le placement des cartes.

Et, finalement, nous n’avons même pas pensé à compter les points, bien trop occupés à savourer ce délicieux moment en famille.

L’avis de Plateau Junior! (Emy)

Je vous l’annonçais dès le départ : la gamme Cartzzle est un véritable OLNI (Objet Ludique Non Identifié). À mi chemin entre le puzzle à reconstituer et le casse-tête, son originalité n’est vraiment plus à démontrer. Pour autant, je suis encore incapable aujourd’hui, de vous dire si j’ai aimé ou non jouer à ce jeu. Et encore moins de trancher sur la question « Est-il bien pour nos Juniors ou non ? »

Je suis convaincue que Cartzzle peut remporter un vif succès auprès des Juniors. Mais pas auprès de TOUS les Juniors. Concrètement, tout dépendra d’une somme de critères à prendre en compte (et aussi d’un bon alignement des étoiles, soyons honnêtes).

Tout d’abord, l’âge. À mon sens, l’âge de 8 ans annoncé par l’éditeur est un peu ambitieux. La simplicité du concept rendra Carttzle jouable, sans souci, à cet âge. Mais, à 8 ans, on est parfois encore un peu agité quand on est un Junior et ce n’est pas toujours facile de se poser et d’être vraiment minutieux. Pour autant, même si j’aurai plutôt classé Cartzzle comme un 10+, certains Marmots de 6 ou 7 ans pourraient tout à fait se poser devant les cartes et les assembler, calmement, sans s’énerver.

Ensuite, le concept en lui-même. Si votre Junior aime les puzzles, il aimera vraisemblablement Cartzzle, qui est une jolie revisite du concept. MAIS s’il a besoin que les choses soient figées, carrées, sous contrôle, il pourrait faire, comme le mien, un rejet total du jeu. Votre Junior pourrait tout aussi bien détester les puzzles classiques et adorer Cartzzle du fait de l’originalité de sa forme.

De la même façon, le thème sera primordial. S’il a une appétence particulière pour l’art, nul doute qu’il prendra un plaisir à reconstituer une image comme celle de la Dame de la Licorne, pleine de petits détails. Mais il pourrait ne pas adhérer à l’univers et s’en détourner car rien ne le pousserait alors à aller au bout du défi… Alors qu’un tableau comme Brocéliande Illimitable, plus enfantin, plus proche des thèmes qu’il affectionne, l’inciterait à se dépasser et à vouloir vaincre le jeu. Et que dire si demain, un Cartzzle Pokémon ou Star Wars ou même Barbie sortait ? Nul doute qu’il trouverait son public auprès certains Juniors alors que d’autres ne sourcilleraient même pas.

Au final, donc, aucune certitude. Ouvrir une boîte de Carttzle, c’est un peu comme ouvrir une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Ni la réaction que cela va provoquer chez nos Juniors.

Si je peux tout de même formuler un conseil, ce serait le suivant : si vous devez tenter l’aventure, commencez peut-être plutôt par une des boîtes « création ». Les tableaux sont bien plus enfantins et parlent davantage aux Juniors. Le fait de raconter une histoire au fil des énigmes justifie l’action : on ne construit  pas pour construire mais pour progresser dans l’histoire. Et donner du sens permet vraiment de faciliter leur immersion.

Je ne dis pas que, chez nous, Cartzzle fera partie des jeux incontournables de notre ludothèque (et même là, peut-être bien que l’avenir me fera mentir, qui sait ?) mais en tout cas, il nous a permis de découvrir une autre façon de jouer ensemble, des sensations de jeux différentes, d’insuffler un peu de renouveau dans notre conception du jeu de société.

Rien que pour cela, je suis contente d’avoir eu l’occasion de les tester et je vous conseille, vu le prix tout mini d’une boîte de Cartzzle, de faire de même. Ce sera le seul moyen de savoir si, avec votre Junior, la mayonnaise ludique prend, ou non !

On aime :

  • Le concept qui dépoussière vraiment celui du puzzle classique
  • Le prix mini
  • Les illustrations
  • Le côté casse-tête une fois le puzzle initial fini

On aime moins :

  • On ne peut pas savoir à l’avance si ça plaira à Junior
  • La minutie nécessaire pour arriver au bout du puzzle (les cartes bougent dès qu’on en pose une nouvelle)

Vos Juniors aimeront si :

  • Bonne question, on ne peut pas le savoir avant d’avoir testé.

Vos Juniors risquent d’aimer moins si :

  • Ils sont psychorigides et ne supportent pas les dessins imprécis

Les trouver :

La dame à la Licorne :
Brocéliande Illimitable :

Pour aller plus loin :

La fiche du jeu :

  • Un jeu édité par Opla
  • Pour 1 à 4 joueurs (selon les boites)
  • A partir de 8 ans

 

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