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Test – Les Fous du Volant

Fonçant à travers brouillard et beau temps, avalant les distances, dévorant les étendues, triomphant de tous les obstacles, voici : les « fous du volant » dans leur éternelle poursuite. Les véhicules se dirigent vers la ligne de départ. Voici la Turbo Terrific pilotée par Pierre de Beau-Fixe, Rufus la Rondelle et Saucisson dans leur Tacot Tout-Terrain, le sergent Grosse Pomme et le soldat Petit-Pois dans leur Tocard Tank, l’inquiétant Al Carbone et sa bande dans leur Cavaillac Blindée, le célèbre inventeur le professeur Maboulette au volant de son Auto-Aéro-Fuso-Planneur, oh ! et la ravissante Pénélope Jolie-Coeur qui illumine ce tournoi de sa radieuse beauté, puis les frères Tête-Dures, Roc et Gravillon, la Dingolimousine avec Pique et Colégramme. Viennent ensuite, le caracolant Max Le Rouge, Malabar et Malabille dans leur fidèle Coucou-casse-cou, et enfin, en lanterne rouge, dans leur Démone Grand Sport, les deux malfaisants compères, Satanas et Diabolo. Satanas et Diabolo toujours à l’affût du mauvais coup. Et les voilà partis !

C’est bon ? Vous avez la musique en tête ? Vous savez ricaner comme Diabolo ? Alors en piste !

Les Fous du Volant est un jeu de Fabio Tola et Andrea Chiarveso, édité en France par Edge Entertainment.

[Cet article a précédemment été publié sur plateaumarmots.fr, en voici une version mise à jour pour Plateau Junior.]

Il y a une vie AVANT le Club Dorothée

Comme vous l’aurez compris, nous voici sur le point de prendre le départ d’une course pas comme les autres, un grand prix de fourberie qui va ravigoter nos souvenirs Hanna-Barberesques, pleins d’images de Scooby-Doo, Capitaine Caaaaaverrrne, Wally Gator et autres Hong Kong Fou Fou.

Sur la piste de départ, 7 bolides prêts à en découdre. Oui, il y aura toujours 7 voitures en course, que vous jouiez à 2, 4 ou 6 joueurs. Mais que les amoureux de la série se rassurent : TOUS les véhicules de la série sont jouables et vous pourrez donc incarner n’importe quel personnage de cette course folle.

Si vous aimez la série, faites attention au coup de cœur à l’ouverture de la boîte, car l’ensemble est tout simplement magnifique, avec des figurines extrêmement bien modélisées. C’est beau, les fiches de personnages vous plongent direct en pleine nostalgie et l’ensemble du matériel tient très bien la route.

Outre les tutures et les fiches de personnages, vous trouverez des cartes d’environnement, et des cartes pièges à l’effigie du diabolique Satanas ! Vous aurez également des tuiles environnement qui constitueront le circuit, quelques étapes spéciales et une jolie règle très bien illustrée pour vous apprendre à jouer. Je vous rassure de suite : Les fous du volant est un jeu très simple qui s’apprend très vite.

Si on ne pourra que regretter le format mini des cartes (jamais très pratique à prendre en main) et des tuiles étapes que l’on aurait souhaité un peu plus épaisses, l’ensemble est d’EXCELLENTE facture, et j’ai mis des capitales pour souligner ce point. Les figurines sont magnifiques et pourraient à elles seules justifier l’achat du jeu.

Oui, rien de moins.

Le briefing d’avant départ

Avant de vous lancer sur les routes, je tiens néanmoins à attirer votre attention sur un point important, qui impactera nécessairement sur votre vision du jeu. Je préfère le faire dès à présent, et non en avis final, pour que vous cessiez votre lecture de suite si vous ne vous reconnaissez pas dans ce qui suit.

En fait, il est nécessaire de prendre en compte le fait que Les Fous du Volant – Le Jeu est une fidèle adaptation des Fous du Volant – Le Dessin Animé… mais pas nécessairement du souvenir que vous en avez conservé..

Parce que Les Fous du Volant – Le dessin animé, ce n’était pas une course sur circuit avec des concurrents qui se font des intérieurs en chicane, pas plus que des roublards qui s’envoient des carapaces dans la tronche, pas du tout. Cette course, elle emmène les pilotes à travers des paysages différents dans une sorte de Rallye Cannonballesque où l’on se dépasse au final assez peu. Et dans cette course, il n’y a qu’un seul ennemi : l’infâme Satanas.

Tout ça pour vous dire quoi ? Que les Fous du Volant n’est pas du tout un jeu de course à la Rush & Bash, et évidemment encore moins à la Formule dé. Non, vous n’incarnerez jamais Satanas, puisqu’il est l’IA du jeu. Le pilotage sera anecdotique, et vous aurez ici moins à faire à un test de conduite qu’à un jeu de gestion de main et de désamorçage de pièges posés par l’agaçant Satanas.

S’il s’agit pourtant bel et bien d’une course (le vainqueur est le premier à couper la ligne d’arrivée) elle est totalement déconnectée de l’esprit d’une course automobile telle que la plupart des jeux de ce type la présentent. Ici vous allez rouler, certes, mais avant tout rouler pour aller le plus loin possible en un seul tour, et pour déjouer les pièges d’un Satanas déchainé, comme Bip Bip n’aurait de cesse d’échapper au Coyote. Bref : ce jeu respecte totalement son matériau d’origine, ce qui ne manquera peut-être pas de vous décevoir si vous étiez parti pour autre chose.

Mais à présent, il est temps de démarrer les moteurs…

Une piste bien sinueuse

Le jeu commence par la création de la piste, constituée de 16 tuiles environnement (forêt, plaine, désert, ferme) placées aléatoirement. Il faudra ajouter une tuile ravitaillement et une tuile spéciale (à piocher parmi 4) pour générer le tracé final.

D’un côté on sera heureux de voir que la mise en place de la piste est aléatoire, mais comme les méthodes de déplacement le sont un peu aussi, ça ne change au final pas grand-chose, avouons-le.

Chaque joueur pourra ensuite choisir son bolide et sa fiche de personnage, ainsi que les quatre cartes correspondant aux pouvoirs associés, activables (en principe !) une unique fois par course. C’est ici que le fan service remplit son office, avec des noms francisés et des pouvoirs qui rappellent volontiers le dessin animé.

Les joueurs placent ensuite leurs bolides sur la piste, sachant que les emplacements de course se situent en fait à gauche et à droite de chaque tuile, et non sur la tuile elle-même. Cette dernière est, en fait, en fait réservée à Satanas. Chaque emplacement pourra donc contenir, au grand maximum, trois coureurs : 2 + Satanas.

Une tuile avec deux pilotes est donc considérée comme occupée. Ce qui signifie que si vous êtes derrière elle et que vous devez avancer d’une tuile, vous devrez en fait avancer jusqu’à la prochaine tuile disponible. Pas de blocage, donc, et même la possibilité de sauter parfois par-dessus tout un peloton en jouant bien votre coup.

Cette absence de blocage nous place d’emblée dans un contexte de jeu que les enfants adorent : animé, avec plein de dépassements, et sans frustration ! En piste !

Gentlemen, start your engine

Chaque joueur démarre son tour avec 3 cartes de déplacement en main. Les cartes de déplacement, en fait, reprennent le dessin des tuiles environnement. À son tour de jeu, le joueur est obligé de jouer l’une de ses cartes, n’importe laquelle, ce qui va aussitôt lui permettre d’avancer son bolide vers la prochaine case libre.

Une fois ce mouvement obligatoire effectué, le joueur peut alors être finaud et exploiter ses deux cartes restantes. En effet, s’il dispose d’une carte déplacement correspondant à l’environnement de la case où il se trouve (par ex : il a une carte forêt et il se trouve bel et bien dans une forêt), il pourra alors avancer d’une autre case. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il n’ait plus de cartes en main correspondant à l’environnement dans lequel il se trouve. Cela lui permettra donc, sur un tour normal, d’avancer d’une à trois tuiles, voir un peu davantage s’il a réussi à obtenir davantage de cartes pour le tour.

On comprend d’emblée la stratégie qui se met en place : tenter de gérer sa main de cartes le plus efficacement possible afin d’avoir des cartes correspondant aux cases à venir.

L’autre action possible dans votre tour, ce sera d’utiliser l’un de vos quatre pouvoirs, mais on y reviendra plus bas.

Une fois votre déplacement terminé… ce sera immédiatement au tour de l’ignoble Satanas de venir vous enquiquiner.

« Allez viens Diabolo ! »

Le but de Satanas n’est pas de remporter la course, mais de vous pourrir la vie. Comme dans le dessin animé, il va donc vous semer très rapidement, prendre le temps de poser un piège, et revenir dans le peloton.

Contrairement aux autres véhicules, Satanas roule sur les tuiles, et non à côté. Il n’aura donc jamais la possibilité de sauter par-dessus les adversaires. Pour le déplacer, on regarde simplement la dernière carte environnement défaussée par le pilote qui vient de jouer, et Satanas avance jusqu’à la prochaine tuile environnement du même type. Du coup, cela vous incitera peut-être à freiner l’un de vos mouvements pour éviter que Satanas n’aille trop loin, ce qui est une tactique toujours intéressante.

Tant que Satanas reste dans le peloton, rien ne se passe. Mais s’il passe en tête, il dépose alors (face cachée) un terrrriiiiiible piège qui se déclenchera au passage du premier concurrent osant rouler sur la case.

Les pièges sont de toutes sortes et ont des effets assez divers sur le jeu, généralement ils ont pour effet de resserrer le peloton en permettant aux retardataires de revenir sur la course. Certains seront plus ou moins néfastes à votre avancée, mais des parades existent !

De son côté Satanas ayant perdu du temps à poser son piège ira rejoindre la queue du peloton, dans une sorte de va-et-vient permanent entre lanterne rouge, traversée fulgurante, pose de piège, et retour en dernière position.

C’est la première petite déception du jeu : les pièges de Satanas ne sont pas forcément assez puissants, parfois carrément positifs pour le joueur qui les déclenche. Notez même qu’à 3 joueurs, Satanas sera incroyablement discret alors que sur une partie à 6 joueurs il sera relativement infernal, puisqu’il joue après chaque déplacement de joueur.

Des pouvoirs trop anonymes ?

Comme on l’a suggéré, chaque pilote dispose de 4 cartes « pouvoir », utilisable une fois pour la partie. En fait il sera possible d’en réactiver au milieu de la course, une fois que tout le monde sera passé par le ravitaillement.

Les pouvoirs permettent de créer un peu d’animation dans la course, c’est-à-dire de contrer un piège de Satanas (comme au mille bornes), de bénéficier d’un boost bien pratique ou de défausser sa main pour prendre de nouvelles cartes.

L’idée est bien entendu excellente, mais les pouvoirs sont hélas très proches d’un pilote à l’autre, ce qui n’autorise pas un style de jeu différent. Sur les quatre cartes, deux ont systématiquement le même effet d’un joueur à l’autre (défausse de main et parade contre un piège de Satanas), et les deux restantes sont rarement très originales, même si les illustrations sont toujours aussi réussies.

C’est un peu dommage, car autant les figurines sont détaillées, autant les pouvoirs sont basiques et convenus. On appréciera volontiers quelques fulgurances qui rappellent le dessin animé, mais elles sont un peu trop rares pour différencier les personnages.

Un fin de partie bien disputée

La course se poursuit ainsi, effrénée. Si vous jouez à moins de 6 joueurs, des concurrents neutres rempliront les cases vides pour vous permettre d’avoir toujours 7 bolides en course et une animation constante. Les tours de jeux vont se succéder avec un passage au ravitaillement et une tuile aléatoire qui viendra (un peu) pimenter les choses.

Après une vingtaine de minutes de jeu, vous pourrez rallier l’arrivée : et savourer votre victoire méritée : le premier joueur qui passe la ligne l’emporte !

La grande course autour du monde

Comme vous l’aurez sans doute deviné à la lecture de ces quelques lignes, le système de jeu est fort simple : 3 cartes à optimiser et quatre pouvoirs à déclencher au bon moment. Le jeu est plaisant, fluide, mais encore une fois oubliez d’emblée toute crasse balancée aux adversaires : les interactions entre joueurs sont quasi inexistantes. On ne pourra même pas user de perfidie en bloquant un véhicule puisque tout mouvement de ce dernier le propulsera devant vous. On se double, on tente de jouer ses cartes dans le bon ordre pour gratter une tuile ici ou là… et c’est à peu près tout.

C’est simple donc, mais plutôt rigolo. Des enfants de 6 ou 7 ans peuvent maîtriser le système de déplacement sans le moindre souci et se révéler des adversaires coriaces si on leur rappelle au bon moment comment on doit utiliser les pouvoirs.

Les parties sont courtes, rythmées, et seul le mouvement incessant de Satanas (tantôt en tête, tantôt en queue de peloton rendra parfois la course plus difficile à suivre. Il est clair que c’est un jeu prévu pour 5 – 6 joueurs, et jouer à 2 ou 3 rendra les choses bien plus plates, avec une IA apathique qui avance tranquillou. Il faut être 6 et se tirer la bourre entre gens de mauvaise compagnie, activer le roleplay et se déchainer en petites phrases mesquines pour que la légèreté de la mécanique soit compensée, ce qui suppose que tout le monde autour de la table y mettra du sien.

Ce qui nous amène au véritable problème du jeu.

Décalage temporel

Le souci, en fait, avec les Fous du Volant, c’est que son mécanisme est typique d’un jeu pour enfants, façon Monza. Mais son univers est a contrario dirigé vers des quarantenaires nostalgiques, qui auront sans doute besoin de mécanismes un peu plus consistants pour s’éclater.

Il en résulte un décalage un peu curieux, un grand écart casse-gueule entre un jeu qui serait conçu pour des joueurs nés en 2012, dans un habillage conçu pour de grands enfants nés en 1962.

On n’ira donc pas jusqu’à dire que ça ne fonctionne pas, puisque le jeu reste plaisant en toute circonstance ; mais on ragera qu’il ne parvient jamais à trouver l’équilibre entre un thème aussi fort et une mécanique trop légère.

Sans doute aurait-il fallu faire un choix plus tranché : complexifier le jeu ou le débarrasser de sa licence, pour autoriser une démarche plus naturelle.

Vous allez me dire : « quel est le souci : c’est l’occasion pour les enfants de découvrir un dessin animé de notre enfance ! ». Oui, mais d’une part le dessin animé est plus beau dans vos souvenirs qu’en réalité (si si, croyez-moi), et d‘autre part cela fait inutilement gonfler le prix d’un jeu fort simple à 45 euros, alors que des jeux de courses plus rythmés sont disponibles pour moitié moins !

J’achète ou pas ?

Moi oui. Et je l’ai fait, d’ailleurs, puisque c’est un jeu que j’ai acheté. Et je ne peux pas dire que je regrette mon achat, puisque sa mécanique intuitive lui permet de bien fonctionner avec des 7 – 8 ans. Mais soyons clairs, sur une partie à 6, je suis le seul à table qui entend dans sa tête la voix du commentateur et les gloussements de Satanas. Pour les autres adultes, les vrais adultes on va dire, le jeu est bien trop simple pour leurs attentes, et ils se lassent du manque d’interaction dès la fin de la première partie. Les enfants, eux, s’amusent davantage. Mais les véhicules ne leur évoquent rien. Le grand écart générationnel tenté par Edge et CMON ne fonctionnera donc qu’avec les adultes à la recherche de jeux très, très simples, où l’imagination fera le job.

Les Fous du Volant est donc un plaisir coupable pour grands marmots, ou un plaisir tout court pour les petits, hélas déconnectés de cet univers issu d’un autre siècle, la version plus récente des Fous du Volants sortie sur les écrans il y a quelques années étant fort éloignée de matériel original. Et du jeu, donc.

L’avis de Plateau Junior

Ne nous voilons pas la face : Les Fous du Volant est une petite déception, en dépit de son matériel qui réveille les souvenirs d’enfance. Trop simple pour les adultes, le jeu est calibré pour les enfants. Mais ces derniers n’ont hélas pas les références Hanna-Barbera pour savourer la course et comprendre les va-et-vient incessants de Satanas.

Et en dépit de cette déception, c’est un jeu que j’adore sortir pour jouer avec les marmots, car il est simple à sortir, très animé, et permet de s’amuser une petite demi-heure en optimisant ses déplacements pour aller le plus loin possible avant que Satanas ne revienne vous doubler en trombe.

Mais (car il y en a un, et il est énorme), il est fort possible que je sois celui qui s’amuse le plus à la table, ce qui est tout de même dommage.

Si vos enfants connaissent le dessin animé et l’apprécient, vous pouvez alors casser vitre tirelire pour ce jeu, qui vous replongera facilement dans l’ambiance Bip Bip du méchant toujours battu. Pour tous les autres, le jeu sera rigolo, mais sans plus, le thème de ce rallye loufoque ne rencontrant aucun écho chez eux.

Le jeu aurait pu sauver les meubles à 25 euros, mais à 45, il est hélas à la fois trop light et trop onéreux pour convaincre. C’est donc un plaisir coupable auquel on cèdera en toute connaissance de cause, le jeu que l’on sort « pour jouer avec les enfants » et où l’on ne peut s’empêcher de fredonner un générique jazzy, dans l’incompréhension générale. Le choc des cultures, quoi ! Le charme du Fan Service, aussi. Une façon polie de vous dire que je vous déconseille ce jeu alors que je m’éclate avec. Va comprendre, Diabolo !

On aime

  • Une mécanique très simple
  • Franchement joli
  • Des courses nerveuses
  • Optimisation de déplacement
  • Le Fan Service à son max (le rouge)
  • Palpitant à 6 joueurs

On aime moins

  • Des références inconnues des marmots
  • Beaucoup trop simple pour les grands
  • Beaucoup trop cher
  • Des tuiles qui auraient pu être plus solides
  • Des cartes format « mini », toujours pénibles
  • Des pouvoirs pas assez intéressants
  • Des pièges pas assez puissants
  • Ennuyeux en dessous de 4 joueurs

Le trouver

Chez Philibert
Sur Amazon
Chez Ludum

Fiche Technique

Un jeu de Fabio Tola et Andrea Chiarveso
Illustré par les Studios Hanna-Barbera
Edité en France par Edge Entertainment.
Pour 2 à 6 joueurs (mais soyez au moins 4)
A partir de 8 ans

4 commentaires

  1. Bonjour,
    Quand j’ai su grâce à votre article précédent que le jeu sortait, avec les enfants,nous avons regardé un épisode tous les soirs, depuis novembre.

    En déballant le papier cadeau et en découvrant le jeu à noël , les enfants étaient en délire !!!

    Donc, la référence inconnue au marmots est très facilement surmontable .
    Pour le prix, je trouve qu’il est dans la norme pour un jeu avec 11 figurines . il existe une version premium avec les figurines peintes bien plus chère…

    1. Cela reste bien trop cher pour un jeu de course de ce type !! Rush & Bash propose bien plus d’interactions en course pour 25 euros de moins…

  2. Oui, mais le plaisir de jeu n’a hélas rien à voir non plus.

    Objectivement, la mécanique des Fous du Volant ressemble à celle Monza : on optimise un tirage de couleurs. Mais, tout aussi objectivement, Monza est plus fun et beaucoup moins cher. https://www.philibertnet.com/fr/haba/284-monza-4010168221205.html#ae29

    Là, sans le Fan Service, Les Fous du Volant n’existent pas. Donc la question est totale : si j’agis en parent responsable avec un budget serré, Les Fous du Volant n’est absolument pas un bon choix. Il n’y a aucune interaction entre les joueurs et il est hors de prix, figurine ou pas. Sans compter qu’il faut rajouter le prix du coffret DVD, vu que la série passe pas ou très peu à la TV et n’est pâs dispo en streaming. https://amzn.to/3b1Cb4r

    Si j’agis en passionné quarantenaire, la chose est différente… Mais encore une fois, difficile de trouver des marmots qui accrochent aujourd’hui à cet univers.

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